PYRESCOM, concepteur de capteurs Made in France, est partenaire de Synox. Cette collaboration apporte une solution complète sur le marché, construite par deux acteurs complémentaires de l’IoT.
Pauline Pontis, Responsable Marketing de PYRESCOM, partage sa vision du partenariat et les avantages qui en découlent.
Une collaboration complémentaire
Parce que pour faciliter la vie de ses clients, Synox souhaite leur apporter des solutions complètes, de bout en bout qui puissent répondre à leurs cas d’usages, aussi divers soient ils. PYRESCOM est un acteur majeur de notre écosystème et révolutionne, avec nous, la Smart City.
« L’avantage, c’est que l’on peut identifier des projets et apporter une solution globale. Avec son propre domaine de compétence, chacun est capable d’identifier des projets pour lesquels l’autre peut apporter son expertise », confirme Pauline.
Et concrètement, quels sont les sujets qui nous animent ?
Révolutionner la Smart City
La collaboration est principalement basée sur la réponse à deux cas d’usages de la ville intelligente. Premièrement, la qualité d’air intérieur.
Un sujet au cœur de l’actualité depuis plusieurs années, dont on a pas fini d’entendre parler.
« Nos capteurs connectés Class’Air permettent de mesurer le CO2, les COV, la température, etc. Certains sont connectés pour avoir une vision plus globale, notamment dans les établissements scolaires où il y a un vrai besoin, puisqu’un décret règlemente la surveillance de la qualité d’air intérieur. Conjointement avec Synox, nous remontons ces informations en les intégrant sur les plateforme de supervision. », ajoute Pauline.
La qualité d’air intérieur fait en effet face à de nombreuses règlementations depuis 2015. Fin 2022, un nouveau décret a modifié les modalités de surveillance de la qualité d’air intérieur dans les crèches, écoles maternelles, primaires, collèges et lycées. Et ce n’est pas tout ! D’ici 2025, elle deviendra également obligatoire dans les EHPAD et plus généralement dans les établissements de santé recevant du public sensible.
Pauline explique : « Cette règlementation demande 3 types de mesure :
- Tous les ans, ils doivent faire une mesure de 2h dans une classe et identifier les éventuelles problématiques.
- Puis, tous les 4 ans, il faut réaliser un autodiagnostic comprenant des mesures plus poussées avec un capteur étalonné avec un certificat.
- Et enfin, à chaque étape clé de la vie du bâtiment (par exemple une nouvelle peinture), une nouvelle analyse incluant les mesures du CO2 est nécessaire. »
Il devient alors incontournable pour les collectivités de s’équiper et de faire appel à des solutions qui répondent aux nombreuses exigences règlementaires actuelles et futures.
Un autre enjeu de la Smart City : la supervision de l’éclairage public.
« EPnrj est un module qu’on installe dans les armoires d’éclairage public pour superviser l’éclairage et les coupures de nuit notamment. L’objectif : répondre aux problématiques de sobriété énergétique. Grâce à la plateforme de supervision de Synox, la gestion de l’éclairage public devient globale. », ajoute Pauline.
En matière d’éclairage public, il n’existe pas de règlementation à l’heure actuelle. Mais le sujet de la sobriété énergétique prend de plus en plus d’importance, et le coût de l’énergie alimente la problématique. En effet, l’éclairage public représente plus de 40% des consommations électriques et des budgets d’une commune.
Les sujets Smart City sont divers et variés. L’IoT est capable d’aider les collectivités à de multiples niveaux, ce qui constitue d’ailleurs l’une des forces de notre partenariat.
« Ce qu’on préfère chez Synox, c’est la manière dont vous appréhendez la Smart City. Je pense que c’est une bonne vision, d’amener des projets interconnectés et d’apporter une vision globale de la ville intelligente. », confirme Pauline.
La collectivité au centre de la collaboration
« Vous avez une cible similaire à la nôtre et un outil de supervision qui permet de répondre à plusieurs besoins en fonction des clients. Ensemble, nous pouvons alors nous développer sur toute la France et même envisager l’export dans le futur. », affirme Pauline.
La qualité de l’air intérieur est une problématique qui intéresse les mairies, qui sont en charge des crèches, écoles maternelles et primaires. Mais elle concerne également les régions pour les lycées et les départements pour les collèges. « On adresse les collectivités, à tous les niveaux. »
Pauline ajoute : « Il existe aussi des aides financières, gérées par les syndicats d’énergies qui aident les mairies à s’équiper. Nous adressons donc aussi les syndicats pour les aider à mettre en avant ces aides auprès des mairies pour qu’elles s’équipent de capteurs de qualité d’air dans leurs écoles. »
En matière d’éclairage public, deux métiers sont concernés. D’abord, les mairies, qui à nouveau font souvent appel aux syndicats d’énergie, à qui nous nous adressons. Puis, les sociétés concernées par projets de rénovation d’éclairage public. « Dans leurs projets de rénovations, ils intègrent les armoires connectées. »
Pyrescom, un fabricant made in France
Avec plus de 35 ans d’expérience, PYRESCOM développe des solutions connectées dans les domaines Smart City, Smart Santé et Smart Entreprise. Spécialiste de la data, PYRESCOM imagine, prototype, conçoit et fabrique ses produits en France. Aujourd’hui, PYRESCOM compte plus de 8 000 clients répartis dans plus de 50 pays. Membre de La French Fab, PYRESCOM se veut être entreprise ancrée et engagée pour son territoire et tournée vers le monde.